L’animal, tantôt perçu comme monstrueux, tantôt comme sauvage ou même familier, ne fait pas exception. Dès la Préhistoire, l’être humain a ressenti le besoin de représenter par des peintures rupestres les animaux avec lesquels ils partageaient une expérience du monde, sentant qu’ils étaient plus proches de lui que la simple pierre.
Mais quel est ce monde que nous partageons ? Quel rapport entretiennent les différentes espèces à celui-ci ? En quoi diffère-t-il du nôtre ? Ce sont les questions proposées par le dernier album de Philonimo “Le Lézard d’Heidegger”.
charlie renard
article paru à l’origine sur le site la pause philo